Elijah Luke Hastings
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♢ PRÉNOMS + NOM. elijah luke connor sean, hastings. ♢ ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE. vingt-cinq ans, né le dix juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-huit. ♢ STATUT DE SANG. né-moldu. ♢ SITUATION FINANCIÈRE. plutôt modeste. ♢ STATUT CIVIL ET ORIENTATION SEXUELLE. célibataire et bisexuel. ♢ EMPLOI/ÉTUDES. professeur de sortilèges au sein de la nettlebed lane high school. ♢ CARACTÈRE. sur de lui, parfois arrogant, narcissique, tête-en-l'air, bavard, très proche de ses élèves, protecteur, un peu lâche sur les bords, indiscipliné, impatient, curieux, très intelligent malgré son immaturité apparente, excentrique. ♢ FEATURING + GROUPE. nico tortorella, wildfire whiz-bangs.

♢ I SOLEMNY SWEAR THAT I AM UP TO NO GOOD.

(+) lorsqu'il était à l'école des sorciers, le jeune homme était systématiquement premier de sa classe, sans forcément faire beaucoup d'efforts. (+) quand il a reçu sa lettre lui annonçant -ou plutôt lui confirmant- son statut de sorcier, il a été excessivement calme contrairement à ses parents, ivres de joie. (+) ses parents viennent souvent le voir, plus pour s'émerveiller devant la magie que pour lui. (+) il a inventé quelques sortilèges lorsqu'il était jeune avant de s'arrêter après un accident désastreux qui a couté la vie à l'une de ses camarades de classe. (+) sa baguette mesure trente-sept centimètres, elle est en bois de bambou et contient un poil de jackalope, un animal qui ressemble à un lapin mais avec des cornes d’antilopes. cette baguette est extrêmement sensible. (+) le patronus du jeune homme est un panda. (+) il rêve de se rendre en angleterre pour visiter l'école de poudlard, théâtre d’événements dramatiques, à en croire ses cours d'histoire de la magie. (+) il connait hermione granger de réputation, une sorcière très puissante et née-moldu de surcroit. (+) il essaie souvent d'expliquer l'intérêt d'un téléphone portable à ses élèves, sans succès jusqu'à présent. (+) il a une petite sœur qui étudie actuellement dans le même lycée que lui. (+) son père est chirurgien et sa mère journaliste.

♢ MISCHIEF MANAGED.

Etdoncpourlasemaineprochainevousallezmerédigertroisparcheminsexpliquantl'intérêtd'unsortilègeprotéiforme. Mes élèves me regardent avec des yeux stupéfaits tandis que l'un d'eux lève sa main. Monsieur ? Vous pouvez la refaire en vitesse normale ? Je hausse des épaules en lui tirant la langue. Et donc pour la semaine prochaine vous allez me rédiger trois parchemins expliquant l'intérêt d'un sortilège protéiforme. Je marque une pause tout en levant ma baguette pour effacer le tableau. C'était assez lent ? Je passe ma main dans mes cheveux d'un air dégagé. Non, non, sait-on jamais. Et donc pour la semaine prochaine. Ma voix se fait plus forte. Vous allez me rédiger. Un éclair de génie s'illumine dans mes yeux bleus. J'ai une meilleure idée ! Mais oui... je pose ma baguette magique contre ma gorge avant de lancer un sonorus. Alors que je répète ma phrase pour la cinquantième fois -au moins-, le directeur entre dans la classe et il me lance un regard noir. Mais vraiment très noir, le genre à vous glacer le sang sur place. Le cours est terminé, filez. Les étudiants quittent tous la salle un part un et l'un d'eux me lance un petit air désolé du style : j'espère que vous allez survivre parce qu'on vous aime bien. Je tourne le dos au directeur et je ferme les yeux en marmonnant quelques mots. Si je fais semblant de pas le voir il va s'en aller. Grave erreur. HASTINGS. Votre sonorus est encore actif. Et ça se vante d'être le meilleur duelliste de la ville, hein. Mes joues s'empourprent de gêne tandis que je lance un petit sourdinam en direction de ma gorge. Je me retourne ensuite vers le directeur, les mains derrière le dos comme un petit garçon pris en faute. Mais ouais mais... je hausse les épaules, ne sachant trop que dire. Vous me troublez aussi. Il me lance un autre regard noir, plus assassin que jamais. Non mais pas dans ce sens là. Vous êtes chauve et un peu gros donc... je pose ma main contre mes lèvres. Pourquoi j'ai accepté de prendre cette potion de vérité pour tester le niveau de ma petite sœur en potions... enfin vous êtes pas trop mon genre, même pas du tout, mais vous êtes gentil, hein. Et quand je dis gentil, faut le dire vite. Le directeur me lance un regard scandalisé et je recule lorsqu'il serre son poing droit. Désolé, potion de vérité, je contrôle rien du tout. Il s'approche de moi lentement, une grimace étrange sur son visage. C'est un sourire sur vos lèvres ? J'ai presque envie de sortir mon téléphone pour immortaliser cet instant. Ça tombe bien parce que je ne contrôle pas mon envie de vous tuer, Hastings. Dans quelle merde je me suis mise, encore une fois... une seule solution pour m'en sortir... oubliettes ! Ma baguette dégage une étrange lueur blanche tandis que les yeux du directeur se voilent. Discrètement, je quitte la pièce pour m'éloigner le plus possible de ma victime. Quatre oubliettes en deux semaines, va falloir que je me calme. Et que ma sœur s'améliore en potions, aussi. D'ailleurs, la voilà qui se pavane avec ses copines dans ma direction. Je m'approche d'elle afin de lui donner la correction de sa vie. J'ouvre la bouche pour aspirer le plus d'air possible -parce que je compte l'engueuler pendant des années, si ce n'est plus- pour déclencher mon super pouvoir : la super parlotte. Toi, tu vas mourir. a cause de ta potion de vérité... elle lève un magazine devant son visage pour se protéger -et sans doute pour esquiver les postillons parce que quand je gueule, j'y vais avec toute ma salive- et mes yeux se posent dessus par automatisme. Une lueur s'allume alors dans mon regard. Hey, c'est la dernière édition du Teen Magic ? Je peux te l'emprunter ? Ma petite sœur me lance un regard surpris avant de me fourrer le magazine dans les mains. Sans rien ajouter de plus, la voilà qui se casse rapido avec sa bande. Je soupire en tenant le Teen Vogue contre mon cœur. Si je n'ai pas engueulé ma sœur, j'ai au moins gagné mon magazine préféré. La journée ne s'annonce pas si mauvaise que ça, finalement. Je marche en direction de la salle des profs, les yeux rivés sur les pages du Teen Magic. Je percute un, deux, peut-être trois étudiants au passage et je rentre dans la pièce réservée aux enseignants. Sans lever les yeux du magazine, je m'installe sur une table vide, attrapant une bouteille de bièraubeurre qui traine dans le coin. Plongé dans ma lecture, je ne remarque pas l'un de mes collègues qui s'installe près de moi. O-M-G. Les One Chaudron bientôt en concert ! Je pose mes yeux sur l'homme qui est assis à côté de moi quand il tousse pour manifester sa présence. Salut. Oh putain qu'il est beau. Canon même. Je vais me le faire. Je dois me le faire. Mais non, je peux pas. Y'a déjà cette fille que j'ai rencontré en faisant les courses, hier soir. Osef. Je pose le magazine sur la table avant de le cacher précipitamment. C'est un Teen Magic ? Son sourcil levé en l'air n'engage rien de bon. Ce mec doit me juger à mort. Il n'est pas question de passer pour un attardé auprès de lui. Non, c'est un magazine sur le Quidditch. Je suis un homme, je lis des trucs de mecs. J'aime... les voitures, et le foot. Ouf, je peux mentir de nouveau. Enfin, je suis VRAIMENT un homme, par contre. Tu connais le foot ? C'est comme le Quidditch, sans balais, avec une seule balle, y'a onze joueurs et... les mots me manquent. Et c'est un sport très dangereux. Les joueurs se blessent souvent, surtout les Italiens. J'éclate de rire pour masquer mon malaise. Ma sœur, elle achète le Teen Magic tous les mois. La honte, hein ? C'est quoi ces gens qui lisent ce truc de merde ? Je pouffe de rire et je m'arrête de suite lorsqu'il pose un magazine sur la table. Je lis Teen Magic. Sans rien ajouter de plus il se lève, me laissant dans l’incapacité de dire quoique ce soit. J'ai loupé une chance de discuter de mon magazine préféré avec un type canon... la porte de la salle s'ouvre et je tombe de ma chaise en voulant m'excuser auprès du type canon. Malheureusement, ce n'est pas lui, rien que le directeur. Un directeur qui s'esclaffe en me voyant au sol. Pour une fois que vous êtes à votre place, Hastings. Je me relève, une grimace outrée sur le visage. Et elle est où votre place à vous ? Dans un mac do avec les gros de votre genre ? Et merde. Merde. Merde. Oubliettes ! La cinquième en deux semaines, si je compte bien.

♢ Tell me your darkest secrets.

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