Marley Davidson
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Les rêves, c'est bien beau.. Mais ce serait merveilleux de pouvoir les réaliser de temps en temps..
|tumblr + macklemore x ryan lewis|And we danced
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♢ PRÉNOMS + NOM. Marley ... un prénom que je porte depuis ma naissance et que je porterais jusqu'à ma mort. Pourquoi mes parents m'ont appelé ainsi ? Aucune idée, je n'ai jamais pensé à leur demander, je l'ai toujours aimé et ça ne changera pas. Quant à mon nom, ... Davidson, le nom de ma famille, le nom qui nous identifie, qui est transmis de génération en génération, je l'idolâtre, je le respecte, je l'aime tout simplement. Cela vient sans doute de mon père, il avait l'habitude quand j'étais petite de me prendre sur ses genoux et de me montrer l'arbre généalogique de notre famille on ne cessant de me dire que la famille était ce qu'on avait de plus précieux au monde, que peut importe ce qu'il arrivait, les davidson avait pour devise de toujours soutenir la famille, valeur qui m'a été transmise. ♢ ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE. 29 ans, mais 17 ans d'âge mentale. Je suis une grande gamine, je n'ai jamais vraiment grandis mentalement, on peut dire que je suis atteinte du syndrome de peter pan. Sinon, je suis née un 21 décembre, par un jour de neige très rare dans la campagne texane. ♢ STATUT DE SANG. Sang-mêlé ♢ SITUATION FINANCIÈRE. Je gagne bien ma vie, je n'ai jamais roulé sur l'or et je me contrefiche d'être riche, tout ce que je veux, c'est assez d'argent pour pouvoir m'acheter des chaussures. ♢ STATUT CIVIL ET ORIENTATION SEXUELLE.Ma vie amoureuse est pour ainsi dire, compliqué, comme toutes les histoires d'amour me diriez vous. J'aime un homme, passionnément à la folie mais voilà, lui il n'est pas du genre à se caser. Je ne l'étais pas non plus, j'ai toujours été frivole, charmeuse à mes heures mais maintenant, je veux plus. ♢ EMPLOI/ÉTUDES. Styliste, j'ai ma propre ligne de vêtement et de chaussure appelé New life et possède une boutique en centre-ville. ♢ CARACTÈRE. Tête en l'air, fidèle, attentive, bavarde, capricieuse, énergique, fêtarde, excentrique, malicieuse, joyeuse, optimiste, solidaire.♢ FEATURING + GROUPE. La jolie felicity jones + WILDFIRE WHIZ-BANGS .

♢ I SOLEMNY SWEAR THAT I AM UP TO NO GOOD.

♢ 01 Elle est une acheteuse compulsive, elle possède un nombre incalculable de chaussure. Son dressing est juste plein à craquer.
♢ 02 Elle adore dessiner, surtout ses amis, ses dessins sont accrochés un peu partout sur les murs de son appartement, on ne peut pas deviner la couleur des murs tellement il y en a.
♢ 03 Elle a toujours le sourire aux lèvres et est toujours de bonne humeur, il lui arrive tout de même de piquer des crises quand rien ne va plus mais c'est vraiment très rare. Il est très difficile de ne pas l'aimer et de s'embrouiller avec elle.
♢ 04 Elle peut passer des heures devant le miroir à se dire que ses cheveux sont incoiffables et qu'elle n'a rien à se mettre alors qu'elle est entourée d'une tonne de vêtement. Elle est souvent en retard à cause de ça d'ailleurs et se fait souvent charrier.
♢ 05 Elle est très souvent pleine d'énergie, il faut que sa bouge et tout le temps, elle ne se pose que pour dessiner sinon, elle sort, elle fait la fête, elle voit ses amis, elle n'est jamais à rien faire.
♢ 06 C'est une grande gourmande. Elle aime plus que tout, la pâtisserie, elle peut s'arrêter devant une pâtisserie et baver devant la vitrine pendant de longues minutes et finira à tous les coups par acheter quelque chose.
♢ 07 Elle est sortie avec beaucoup de garçons ne voulant pas se ranger tout de suite mais elle ne pense plus de la même façon dernièrement. En parlant de garçon, elle se fait facilement avoir.
♢ 08 Son endroit préféré est sa mezzanine qui lui offre une vue parfaite de la ville.
♢ 09 Sa couleur préférée est le violet, elle adore les banzaï, elle a deux poissons rouges nommé vador et yoda, comme vous avez pu le deviner elle est une grande fan de star wars. Elle a aussi un chat roux, chewbacca qu'elle gâte un peu trop niveau nourriture, qu'il est devenu une boule sur patte et passe ses journées à dormir.
♢ 10 Elle ne fume pas et ne tiens pas du tout l'alcool ce qui ne l'empêche pas de boire, bien au contraire. Elle devient très câline après quelque verre.

♢ MISCHIEF MANAGED.

La famille. Pour moi, c'est ce que j'ai de plus précieux, de plus cher au monde, ce que je n'échangerai pour rien au monde. Il existe toute sorte de famille, des familles déchirées, brisées, inconnus mais, ma famille à moi elle était unie enfin on essayait de l'être. Je suis née dans le bonheur, l'amour et la magie, mes parents s'étaient rencontrées à l'université et ne s'était plus quitté. Ma mère était une orpheline et moldue, elle s'était trouvée une famille en épousant mon père et l'avait agrandi avec moi, je crois qu'au fond d'elle, elle a toujours eu un peu peur de l'univers de mon père mais par amour elle avait tout accepté. Ils avaient quitté la ville après être diplômé pour s'installer à la campagne, vivre d'amour et d'eau fraiche comme ils disaient souvent en rigolant alors qu'en réalité c'était pour se rapprocher de mes grands-parents paternels qui possédaient une bibliothèque dans une petite ville du Texas au milieu de la campagne qu'ils ne pouvaient plus tenir. Mes parents ont donc pris tout naturellement la suite. J'ai grandi entouré de livre mais ma grande passion, c'était le dessin. Je disparaissais souvent de la maison pour courir à travers champ, visitant les fermes voisines, toujours à la recherche d'un nouvel endroit à découvrir et à dessiner. Je faisais ça à longueur de journée.

J'étais très proche de mes parents mais particulièrement de mon père, on passait des après-midi ensemble, il me contait des histoires d'antan, jouait au pirate avec moi entre les allés de la bibliothèque, tandis que ma mère nous reprochait de faire trop de bruit. Ce côté enfantin qui ne m'avait jamais quitté me venait de mon père. Ma mère disait souvent qu'elle avait deux enfants à la maison, ce qui nous faisait rire mon père et moi. Mais surtout, il me faisait découvrir le monde merveilleux de la magie. Comme ma mère avait accepté par amour ce côté de mon père, mon père par amour avait décidé qu'à la maison la magie était interdite. C'est comme ça que je grandis, comme une moldue à la maison entourée de parents aimant et de mes grands-parents qui me gâtaient beaucoup trop et comme dans un conte de fée à la bibliothèque, c'était le seul endroit où la magie était présente. J'adorais voir les bouquins voler d'un endroit à un autre, les échelles bouger toute seule, je n'avais qu'une hâte, créer ma propre magie.

J'ai lu une fois dans un bouquin que le bonheur est éphémère, je l'avais aussitôt fait voler dans la pièce en décrétant qu'il était pourri, ne voulant pas croire ce que j'avais lu et pourtant, j'aurais dû m'en douter. Notre famille était trop parfaite, aucune dispute, aucun secret, j'aurais dû me douter que quelque chose n'allait pas. Ma mère si souriante d'habitude, ne souriait plus. Ma mère qui passait son temps dans la cuisine à cuisiner, était maintenant assise dans le canapé à regarder par la fenêtre. Ma mère si câline avec moi, ne me regardait même plus. Je n'avais que sept ans mais pour mon âge je comprenais vite. Je savais que quelque chose n'allait pas, ce n'était pas normal. « Daddy, maman elle est malade ? » S'il y avait bien une personne à qui mon père ne pouvait pas mentir, c'était bien moi. « Oui. » Un simple mot qui pouvait faire tout faire basculer, qui pouvait changer complètement une vie. « Mais ... mais tu peux la guérir, tu peux utiliser la magie pour la guérir !!! » J'étais en pleure, je ne voulais pas perdre ma maman, je voulais que mon père, mon héros la sauve, je savais que la magie était interdite à la maison mais il pouvait faire une exception non ? Ma mère n'allait pas ... mourir ? « Marley, tu sais, il y a des choses que la magie ne peut pas faire, ce n'est pas le corps de maman qui est malade, c'est son coeur ... » Son coeur ? « Non, tu mens !» Et là, pour la première fois, je vis mon père qui pleurait, c'était la première fois que je le voyais faible, aussi fatigué, il avait toujours été fort pour moi, un super-héros indestructible, ce que je ne savais pas et que j'appris des années plus tard, c'est que ma mère avait fait une fausse couche et que rien ne pouvait la soigner. Je fuis alors la réalité et je me réfugia dans le dessin, je dessina ma mère, comme dans mes souvenirs, je la dessinais toujours avec un sourire, je pensais que peut-être elle irait mieux, que peut-être demain matin, on me réveillant, elle serait dans la cuisine en train de me préparer mon petit-déjeuner. Oui, ça ne pouvais être qu'un mauvais rêve. J'allais me réveiller.

Je m'étais réveillée mais le cauchemar avait continué d'exister, ma mère n'alla pas mieux, elle nous quitta, sa peine était trop grande à porter pour elle, nous laissant moi et mon père plus triste que jamais. Comment vivre avec ça ? Comment continuer à vivre comme si de rien n'était ? Comment arriver à sourire à nouveau ? Comment vivre sans une mère ? Toutes ses questions qui n'arrêtaient pas de tourner dans mon esprit et auquel je n'avais pas de réponse. Devant la tombe de ma mère au cimetière, je pris la main de mon père dans la mienne et je me promis que je devais tout faire pour qu'il soit heureux à nouveau. Je me força alors à sourire, je faisais croire aux gens que j'allais bien, qu'il n'y avait pas de raison de s'inquiéter. Je faisais ça pour mon père. Après tout, la devise de notre famille était de nous soutenir quoi qu'il arrive et c'est ce qu'on fit. Mon père essayait aussi de paraitre fort pour moi-même si tous les soirs je l'entendais pleurer la mort de ma mère. Petit à petit au fil des années la peine devient plus supportable, nos sourires étaient devenus plus sincère, plus vivant, on arrivait à parler d'elle sans s'écrouler en pleure, on se soutenait, on était là l'un pour l'autre et c'est ce qui nous fit tenir. J'avais retrouvé mon père, j'avais retrouvé la joie de vivre, je venais d'avoir dix-neuf ans, j'avais la vie devant moi. Je travaillais à la bibliothèque aidant mon père qui était tout seul et n'ayant aucun autre travail pour moi dans la région. Mes grands-parents nous avaient quittés deux années auparavant. La tristesse fut moins grande que je ne le pensais. Nous n'étions plus que tous les deux. Un soir mon père vient me parler. « Marley ... j'ai mis quelque économie de côté pour ce jour ... enfin ta mère et moi ... il est temps que tu partes d'ici, c'est ce qu'on a toujours voulu ta mère et moi et ... » « Tu ne veux plus de moi ? » « Si je pouvais, je te garderais toute ma vie à mes côtés ... ce n'est pas ce que j'essaye de te dire, est-ce que tu veux vraiment rester toute ta vie ici ? » Je baissa les yeux à ce moment-là, non ce que je voulais c'était de partir loin d'ici, j'avais besoin de commencer une nouvelle vie, au fond de moi, c'est ce que je souhaitais mais je ne voulais pas laisser mon père. « Je sais très bien ce que tu penses, je suis ton père, tu n'as jamais rien pu me cacher ! Ne t'inquiète pas pour moi, je me débrouillerais très bien tout seul.»

C'est comme ça, que du haut de mes dix-neuf ans je quitta tout laissant derrière moi cette vie, les amis que je m'étais fait et surtout mon père, je savais que ce n'était pas un adieu définitif mais je savais aussi, que je n'allais pas le revoir avant un très long moment, j'avais besoin de tout recommencer à zéro. J'avais besoin de me retrouver, de me réconcilier avec moi-même, avec la magie, j'avais besoin que ça bouge et je ne fus pas déçu en arrivant à Nettlebed Lane. Dès que j'arriva dans la ville, je sus au fond de moi que j'étais destiné à vivre ici, c'est comme un pressentiment au fond de moi. Je savais qu'ici je trouverais ce que je cherchais. Commença alors ma deuxième vie, je découvris des nouvelles facettes de moi-même, la petite fille à son père, qui avait de bonne note, qui ne faisait jamais rien de mal avait disparu, place à la nouvelle Marley, qui profitait pleinement de la vie. Je commença à me lâcher complètement, j'étais tout simplement folle, je passa la première semaine à zigzaguer dans les rues, sans but précis, avec seulement mon carnet de croquis sous le bras pour coucher sur le papier tout ce que je voyais. J'étais émerveiller, j'avais l'impression de renaitre, d'être sur une autre planète et j'adorai cela. Seulement voilà, les économies de mon père m'avait permis d'acheter un petit appartement et je me retrouvais sans un sous après cet achat. Je n'avais même pas réfléchie en partant à ce que j'allais faire, j'étais tout simplement partie sans me poser de question, sans me retourner. J'avais besoin d'argent et vite, j'avais déjà repéré des magasins qui allaient devenir rapidement mon paradis, il n'y avait que deux petits magasins où je vivais avant et on avait fait vite le tour mais ici, ici tout était différent, il y avait des boutiques à souhait mais pas seulement de vêtement ou de chaussure, mais des boulangeries, des cafés, des pâtisseries, des magasins de farces et attrapes et plein d'autre encore. Bref, j'avais besoin d'argent donc d'un travail.

Ma passion a toujours été le dessin et je voulais que le monde en profite. Devenir une artiste ? Dessiner et exposer mes oeuvres ? J'y avais pensé mais je n'avais aucune idée de ce qui pourrait marcher. Cela faisait deux semaines que j'étais arrivée, je me baladais dans les rues, regardant les vitrines et c'est là que me vient l'idée. Je savais ce que je voulais. Devenir styliste, j'avais une boite entière de brouillon où j'avais dessiné autrefois des chaussures et des vêtements pourquoi ne pas me lancer ? J'étais tout de même réaliste, je n'avais aucun diplôme dans ce domaine et reprendre des études ne me plaisait pas vraiment, je savais que ça allait être dur mais j'avais un objectif. Je commença alors en tant que vendeuse dans une boutique de grande marque et petit à petit je grimpa les échelons rapidement, au bout de cinq ans, j'étais devenue directrice, c'était plus que je ne pouvais l'espérer. J'avais une chance, une chance de montrer mon travail, de me faire un nom dans le métier, la chance de voir mes créations exposées. Et cela arriva, étant directrice, j'avais affaire au plus grand styliste, j'eue la chance de pouvoir montrer mon travail à l'un d'entre eux qui me permis de travailler pour lui. Mon rêve devenait réalité, mes créations étaient reconnues. Deux ans plus tard, je sortis ma propre ligne  "New life" qui fut un succès et me voilà à vingt-neuf ans et le rêve continuait toujours.

« Graham? » Une fois de plus, il me fuit, je me réveille seule, je passe ma main sur le matelas à côté de moi, c'est encore chaud. Il était là, ce n'était pas un rêve. Je ne sais pas s'il s'en rend compte ou s'il le fait exprès de me fuir ainsi. Je sais que je ne peux pas le retenir, que je ne peux pas le changer, il est ce qu'il est, je l'ai aimé pour cela et je continue à l'aimer. Il est devenu une drogue, je le déteste tellement au point de l'aimer, de ne pas pouvoir vivre sans lui. Le problème, c'est que je ne suis rien de plus qu'une amie pour lui, une amie avec qui il passe du bon temps. J'aurais pu lui dire d'aller se faire voir, j'aurais pu tout de suite stopper les choses avant qu'elle dégénère mais je n'avais rien pu faire, je suis attirée par lui comme un aimant. Je ne peux empêcher mon coeur de s'affoler quand je suis près de lui. Pourtant, il fut un temps où j'avais pensé que notre relation aurait pu évoluer mais je me trompais. Il ne voulait pas s'engager et de tous j'étais bien placée pour le comprendre. Moi-même, j'avais enchaîné les petits amis mais aucune histoire n'avait duré plus d'une semaine, c'était plus l'histoire d'un soir, histoire de s'amuser. Je me trouvais beaucoup trop jeune pour me ranger, pour fonder une famille. « On se voit ce soir ? » « Pas envie » Coup de poignard en plein coeur, la blessure s'agrandit de plus en plus, il a beau me blesser, je reviens toujours vers lui et le laisse aller vers moi. J'aurais dû abandonner, avant d'être complètement accro. Cette relation ne me gênait aucunement il y a quelques années mais approchant de la trentaine, j'aspirais maintenant à me ranger, je rêvais de mariage, d'enfant et tout cela avec Graham, il était mon âme soeur, ma personne, j'en étais sûr. Il m'était destiné.

Je ne sais pas comment j'aurai pu tenir le coup, si je n'avais pas rencontré mes amis. Je me le demande encore aujourd'hui et je me dis que je suis la fille la plus chanceuse du monde pour avoir rencontré ces gens formidables. Tout avait commencé avec Paisley, cette fille qu'est-ce que je l'aime ! Je l'avais rencontré dès mon arrivée en ville et le courant avait tout de suite passé, je m'étais trouvé une seconde famille grâce à elle. Elle était la grande soeur que je n'avais jamais eu bien que je sois la plus âgée de nous deux. Secrètement, je jalousais sa relation avec Brane, je voulais la même chose qu'eux alors c'est tout naturellement que je me suis tournée vers elle pour avoir des conseils, parce que questions couple, j'étais nul, je ne savais pas comment cela fonctionnait et surtout je n'étais pas aidée avec Graham. On avait caché à tous nos amis, ce qui se passait entre nous, c'était bien l'une des choses sur quoi on était d'accord tous les deux mais ça commençait à me peser de devoir leur mentir. J'avais grandement besoin d'aide, j'avais l'impression que j'allais exploser à force de garder ça en moi. Pourrais-je tenir encore longtemps ?

♢ Tell me your darkest secrets.

♢ PRÉNOM + PSEUDO. Claire alias sheep. ♢ ÂGE + RÉGION/PAYS. Âgée de vingt année, j'habite en France dans la région du Poitou Charente.  ♢ D'OÙ TU CONNAIS WF? Une amie m'en a parlé, elle m'a dit, aller vient on s'inscrit et me voilà . ♢ COMMENTAIRES. Un coup de coeur pour ce forum et pour le scénario de Paisley     .